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Le 9 août 30 à 7h2024, la Cour constitutionnelle thaïlandaise s'est réunie pour discuter et voter sur la requête de Thirayuth Suwankaesoorn demandant la dissolution du Parti Move Forward (MFP) et la révocation des droits électoraux de ses membres exécutifs pour leur campagne pour modifier l'article 112 du Code criminel.
La pétition réclamait également une interdiction de 10 ans pour ces personnes de former ou de participer à un parti politique, citant des actions qui sapaient le système démocratique avec Sa Majesté Royale le Roi comme chef de l'État.
L'enquête de la Cour a considéré les activités du parti comme des efforts visant à éroder la valeur de la monarchie et les a jugées contraires à la loi de 2017 sur les partis politiques.
A 3h00, la Cour constitutionnelle thaïlandaise a rendu son verdict, statuant en faveur de la dissolution du parti Move Forward. Le verdict a également imposé une disqualification de 10 ans à 11 membres de l'exécutif., dont des personnalités éminentes Pita Limjaroenrat, Chaithawat Tulathon, Nathipat Kulsettasit, Nakornpong Supanimittrakul, Padipat Santipada, Somchai Fangchalachit, Amornrat Chokpamitkul, Apichart Sirisunthon, Benja Saengchan, Suthep U-on et Abhisit Promrit.
La Cour a soutenu que la pression du parti pour modifier l'article 112, présentée pendant sa campagne et publiée sur son site Internet, équivalait à un effort coordonné visant à diminuer le statut de la monarchie.
Cet article a été initialement publié sur notre site Web partenaire The Pattaya News.